La céphalée de tension est classée comme un type de douleur intrinsèque de nature non paroxystique. C'est l'un des types de douleur les plus courants. Elles ressemblent beaucoup aux céphalées dites "occasionnelles" ou chroniques quotidiennes.

Qui est exposé au risque de douleur de tension ?

À l'heure actuelle, nous ne disposons pas d'informations sur la prévalence familiale de cette affection, mais nous savons que les femmes sont plus souvent touchées que les hommes. Les céphalées de tension touchent le plus souvent les adultes, bien qu'il y ait des cas dans la petite enfance. Il s'agit d'une maladie dont le tableau clinique n'est pas caractéristique. Les épisodes douloureux durent de quelques heures à sept jours, mais dans certains cas, ils peuvent durer plus longtemps et être pénibles tous les jours.

Où la douleur se manifeste-t-elle ?

Le tableau clinique de la céphalée de tension comprend des épisodes de douleur sourde d'intensité modérée, à caractère diffus ou oppressant.

Elle affecte les régions frontale, temporale, pariétale ou occipitale (des deux côtés). La douleur a tendance à augmenter au cours de la journée et s'accompagne de symptômes tels qu'une aversion pour la nourriture, des nausées, des vomissements occasionnels, une photophobie et un malaise (irritabilité aux odeurs).

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Il s'agit bien sûr d'un problème individuel pour chaque patient. Très souvent, la douleur est aggravée par la toux et ne se manifeste pas lors d'un effort physique. Il est important de noter qu'aucun symptôme ne permet de prédire l'imminence d'une crise douloureuse.